Au cours de la seconde moitié du 17e siècle, malgré l’Édit de Fontainebleau révoquant les libertés du culte protestant, est encouragée l’installation de maisons d’oraison par les pasteurs locaux, notamment Jean‑Louis Gibert. Construite après celle de Breuillet (1756), la maison d’oraison d’Avallon est détruite puis reconstruite à la première occasion. Même après l’édification du temple en 1834, elle continue d’être utilisée et même restaurée. Vendue en 1955, elle fait désormais partie d’une propriété privée.